Notre départ de St Lucien et ce qu’il signifie !

Jeanette et moi sommes maintenant installés dans notre nouvelle maison à Stockport. Pour être honnêtes, nous sommes très heureux que le déménagement soit terminé. Ce fut une période difficile et stressante et nous avons pu enfin nous détendre à Noël. Une des choses les plus difficiles a affronté fut que notre maison ici est tellement plus petite que notre belle maison à Saint Lucien qu’il a fallu tasser de tous les côtés.

Nous espérons vraiment que nos amis et parrains/marraines français continueront à soutenir Les Amis d’Ouganda – ce que vous faites pour les aider reste toujours aussi important pour les enfants qui ont tellement peu.

Nous sommes reconnaissants à notre trésorière Céline Romano qui se charge de contrôler tous les aspects financiers en France. Si vous souhaitez faire une donation, elle peut lui être envoyée (détails sur demande) et vous pouvez aussi nous apporter votre soutien sur notre compte MyDonate « Forever Friends of Uganda » en utilisant votre carte de crédit. N’hésitez pas à me contacter si vous n’êtes pas sûr de la démarche mais souhaitez utiliser cette dernière méthode.

Concernant le renouvellement des parrainages, les chèques peuvent être envoyés à Céline ou vous pouvez virer les fonds directement sur notre compte bancaire au Crédit Agricole. Si vous souhaitez de plus amples renseignements, je me tiens à votre disposition. Bien sûr, je vous contacterai quand le moment sera venu.

Merci beaucoup de votre soutien sans faille et de votre compréhension concernant notre nouvelle situation. Nous apprécions vraiment votre aide. Restez en contact avec nous. Nous serons toujours ravis de recevoir de vos nouvelles.

Logement des maîtres/maîtresses

Nous vous avons parlé l’année dernière que les maîtres/maîtresses de Bulumbu rencontraient des problèmes de logement.

« Ils doivent vivre sur place, là où ils enseignent,
dormir dans une classe ou dans l’église,
car il n’y a aucun logement disponible pour eux. »

C’était ici que les maîtres/maîtresses devaient dormir

Cette condition avait spécialement attiré notre attention depuis que nous l’avions constatée de nos propres yeux. C’était une situation inacceptable et d’ailleurs insoutenable.

Je suis aujourd’hui heureux de vous indiquer que des fonds ont été transférés en Ouganda afin de débuter le travail d’un bloc de trois chambres à coucher. Le financement provient de différentes sources : de l’argent provient de notre association en Grande-Bretagne, de nos collègues en France (avec l’appui de nos amis fondateurs de l’association caritative pour l’Ouganda, toujours fidèles) et de nos collègues de Dream Scheme Uganda qui sont parvenus à s’associer aux travaux en tant que partenaire à part entière.

Nous sommes tellement plus forts lorsque nous joignons nos forces.

 

Florence lorsqu’elle était élève en secondaire

L’histoire de Florence Namatali

 Il y a neuf ans, personne n’aurait prédit que Florence aurait d’une manière ou d’une autre un avenir. Elle venait juste de commencer l’avant-dernière année d’école primaire, mais seulement parce que nos collègues l’avaient prise dans leur orphelinat à Bubebbere et prenait soin d’elle autant que leurs fonds limités le permettaient.

Heureusement pour cette charmante petite fille, nous commencions notre programme de parrainage et elle fut parmi les premiers enfants à pouvoir en bénéficier. Elle était régulièrement ou presque première de la classe et fut encouragée à continuer par ses parrains/marraines qui lui achetèrent une couverture et un matelas pour améliorer son confort.

À la fin de la 7e année, elle passa un certificat de fin d’études primaire avec une bonne note qui lui permit facilement de progresser vers le secondaire. Fallait-il encore que le financement fut disponible. À nouveau, ses parrains/marraines sont montés au créneau et ont accordé un soutien financier plus important pour répondre aux dépenses que ce nouveau niveau d’éducation exige.

Florence travailla bien au début, mais les années passant, elle trouva les études de plus en plus difficiles. Cependant, il ne faut pas négliger de parler de son succès car elle a réussi son diplôme de fin d’études secondaires (niveau intermédiaire entre le brevet et le bac).

C’est à ce stade que nous avons pu lui offrir la possibilité d’un futur et d’une carrière sure en lui proposant de suivre une formation d’éducation à la petite enfance à l’Institut professionnel Nangabo, situé à la périphérie de Kampala. Elle put poursuivre ses études grâce à l’engagement de différents parrains/marraines (une fois de plus) et notre partenariat avec la fondation caritative qui est très généreuse et nous soutient de plusieurs manières.

Florence a profité pleinement de cette éducation, réussissant à obtenir la meilleure note. Un excellent résultat pour une jeune fille originaire d’une famille démunie.

Jusque-là, tout était super ! Mais les choses allèrent de mieux en mieux. Après l’obtention de son diplôme, elle fut heureuse de retourner à Bulumbu et de débuter sa carrière dans l’enseignement « à la maison ». Non seulement, elle représente un grand succès en matière d’éducation, mais elle aime aussi son travail. Elle a maintenant progressé et a pris en charge la section maternelle et est devenu l’adjointe de la directrice.

Une maîtresse prospère à Bulumbu

Bravo Florence.
Et merci à vous tous,
vous qui avez aidé à faire de cette histoire un succès.

 

Quelques nouveautés par-ci par-là !

Le bloc terminé des latrines

Les latrines que nous avons financées au début de l’année dernière sont maintenant terminées et en service.

Un petit groupe d’enfants ont pu bénéficier d’un voyage au Centre des animaux sauvages d’Entebbe.

Est-ce qu’un escalier roulant dans un centre commercial est plus impressionnant qu’un animal sauvage pour un enfant qui grandit dans un village ?

Notre prochain mais grand projet sera nécessairement un challenge pour réunir les fonds. Il s’agit de refaire la toiture du bloc de classes de Bubebbere. Les salles ont été rénovées, mais si le toit qui fuit n’est pas remplacé, tout le bon travail sera gâché.

Le toit des salles de classe qui fuit est un risque pour les enfants mais aussi une menace pour les travaux de rénovation déjà terminés.

Le toit des salles de classe qui fuit est un risque pour les enfants mais aussi une menace pour les travaux de rénovation déjà terminés.

Les enfants sont toujours heureux quand leurs parrains et marraines leur achètent un cadeau (ou deux !)

Bonne année à tous.

Keith Mills

2 réflexions au sujet de « Notre départ de St Lucien et ce qu’il signifie ! »

  1. Baunda Buchuma Maelezo

    Dear Sir . Bonjour . Je Vous remercie beaucoup de lire Votre Message . Merci aussi d ‘ etre en bonne Sante’ au debut de Cette 2018 . Merci et bon Service .

    Répondre

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